Prenez votre Fluide Glacial de novembre 2011 (N°425), ouvrez-le aux pages 66 et 67.
La pénultième et l'antépénultième.
Elles sont l'une en face de l'autre.
Comme toute personne emplie d'elle-même, Goffette ne recule devant rien.
Il n'hésite pas à coller sa prose laborieuse et censée être pleine d'umour juste en face des dessins de Lefred-Thouron.
Après avoir peiné à la lecture du texte du nouveau rédac-chef de Fluide, à peine votre oeil morne et fatigué a-t-il glissé sur la page suivante qu'un immense fou-rire vous prend en découvrant le premier dessin de "La France qui gangne".
Et vous venez, par la même occasion, de découvrir la différence entre quelqu'un de drôle et quelqu'un qui ne l'est pas.
Merci, Goffette.